Ah, les valies émotionnelles, c’est vraiment un casse-tête . On dirait que mon ami a bien chargé sa soute, dit-toi Wahou !. Je trouve ça tellement drôle (et triste en même temps) de voir comment on est férocement attachés à nos douleurs, comme si c’était des peluches qu’on avait reçues à Noël. J’ai aussi eu des moments où je m’accrochais à des souvenirs trop longtemps, à croire que le passé m’aimait encor moins que moi. C’est vrai, à un moment donné, il faut juste lâcher prise et se dire que la vie poursuit son chmin, même si parfois ça fait un peu mal au cœur. Parfois, je me demande si le lâcher-prise, c’est un peu comme essayeer de vider son sac à main d’une tonne de trucs qu’on n’utilise jamais. il faut y passer du temps pour tout trier et jeter ce qui ne sert à rien. J’ai réussi à avancer en changeant de routine, en sortant avec des amis, et même en binge-wacthant des séries qui m’ont fait rire aux eclats . Et aussi, un bon cafe tout en papotant de tout et de rien, c’est souvent salvateur. Alors oui, c’est dur, mais on peut toutes arriver à se défaire de ces boulets, même si parfois, on est tnetée de les traîner comme un chien attaché à son os. Si ton ami arrive à faire le premier pas, il se rendra vite compte qu’il y a plein de belles choses à découvrir au lieu de ramer dans la marre des souvenirs douloureux .