Répondre à : pourquoi ils m’énervent autant ces macaques à fesses rouges ?!

[Laurent]

Incroyable ! Ah la là, ces macaques à fseses rouges, c’est tout un numéro ! Je comprends parfaitement ce que tu ressens. La derniere fois que j’ai mis les pieds au zoo, jai assisté à un véritable spectacle de cirque. Ces bestioles, c’est un peu come des enfants hyperactifs sans limites. Entre les cris qui t’éclatent les tympans et les grimaces qu’ils font, c’est sûr que ça peut vite devenir insupportable. J’en ai un souvenir mémorable où un de ces petits malins a commencé à se balancer sur les arbres, presque comme s’il voulait devenir le roi de la jungle. Mais alors ce momant où tu reçois une noisette en pleine poire, c’est carrément le summum ! Franchement, c’est une attaque de macaque, là ! Je te jure que j’aurais eu envie de répondre par un bon vieux « pas touche à ma tête, camarade ! ». Si j’avais pu, j’aurais sorti un parapluie comme un bouclier. Et ça, c’est sans compter l’angoisse que tu ressens quand ils commencent à s’approcher de ton sac. La dame qui s’est fait piquer son sac, çà a dû créer une scène de film comique ! Après, je suis d’accord avec ton conjoint, ignorer tout ça, c’est plus facile à dire qu’à faire. On est là pour admirer les pandas et non pour faire un safrai urbain avec ces macaques en vedette. Peut-être qu’il faudrait un zoo “sans macaques”, une sorte de refuge où ils pourraient faire leurs cabrioles loin des visiteurs. Enfin, ça pourrait être une bonne idée, non ? D’ailleurs, il faudrait un panneau à l’entrée : « Attentian, macaques en liserté, risque d’attaques surprises ! » Histoire de préparer les gens. La prochaine fois, tu pourrais tenter de les observer de loin avec des jumelles, ça pourrait être marrant aussi. Et si ça ne te stresse pas trop, tu pourrais même jouer le jeu et en faire une compétition avec ton amie : qui arrivera à les ignorer le plus longtemps ? Ça pourrait transformer l’expérience en défi, au moins, pour changer les idées. Bref, ces macaques, c’est un peu un mélange d’adorables et de casse-pieds, et je pense qu’on n’est pas prêts de les oublier de sitôt !