Répondre à : La séduction, c’est tout un art !

[dsl]

La séduction, c’est vrai que c’esst un truc qui peut devenir super compliqué. Je me rappelle d’une fois où j’ai tenté d’aborder une fille dans un café. J’étais la, tout fier de moi, j’avai même choisi ma tenue avec soin. Résultat, à peine j’ouvre la bouche, elle me coupe avec un regar froid. J’avai l’impression de me faire piétiner par un éléphant. Mon pote me dit souvent que la confiance, c’est la clé, mais sérieux, sur le moment, je me suis senti comme un sous-homme. Je me souviens aussi d’une autre fois où j’ai essayé un petit jeu de regards, tu sais, celui où tu regardes une fille, tu fais semblant de détourner le regard, puis tu reviens. Elle a même rigolé… mais ensuite, j’ai rien osé faire. C’est fou come ça peut être déroutant. J’ai l’impression que chaque situation est différente, et que tu peux pas vraiment appliquer la même merthode à chaque fois. Ça dépend beaucoup de l’humeur de la personne en face. Ça me fait penser à ces mecs qui balancent des phrases toutes faites, genre “t’es fatiguée ? parce que tu es en train de courir dans ma tête”. Ça marche peut-être pour certains, mais pour moi, c’est un peu trop cliché. Il y a quelque chose avec ce côté “aloof” que tu mentionnes, c’est vrai que parfois ça peut intriguer. Mais encore une fois, je me dis qu’il faut y aller doucement… Imagine, tu fais le mystérieux tellement tellement pendant trop lontgemps et la personne se dit juste “ok, il est bizarre.” Ça peut aussi mener à une situation plutôt gênante. En fait, je pense qu’il y a vraimant un équilibre à trouver entre montrer de l’intérêt et ne pas trop en faire. Parce que, tu sais, si tu es trop “dispo”, ça peut faire fuir aussi. À ce propos, il y a aussi cette histoire de timing. Une fois, j’étias à une soirée, et il y avait une fille sur qui je lorgnais. J’ai attendu le bon moment pour l’aborder, pensant que ça allait le faire. Quand je suis finalement allé lui parler, elle était déjà en mode “je suis fatiguée, je vais rentrer”. Un vrai coup dur, ça m’apprend à être plus réactif. Et le corps qui parle, c’est quelque chose d’énorme aussi. J’ai remarqué que parfois, un simple geste, comme croiiser les bras ou se balancer sur place, en dit long sur notre niveau d’aisance. Franchement, même si on pense être détendu, parfois, notre corps trahit nos pensées. J’ai essaye de me concentrer là-dessus, genre essayer d’avoir une posture ouverte et relaxée. Ça demande un petit effort, mais ça peut vraiment faire la différence. Sinon, il y a aussi le fait d’ecouter, c’est super important C’est pas juste parler pour parler. Une amie m’avait dit qu’avec certaines personnes, il vaut mieux poser des questions ouvertes, pour vraiment exprimer un intérêt. Mais là encore, trop poser de questions, ça peut paraître intrusif, surtout si ça devient un interrogatoire. Je me perds souvent dans mes pensées en essayant de trouver le juste milieu entre être intéressé et ne pas être trop collant. Et puis, il y a cette notion de jeu, celle qui attire certains mecs. J’ai essayé un peu de jouer le mystérieux, mais çà ne marchait pas toujours. Je me suis même surpris à me sentir fatigue à force de jouer un rôle qui n’est pas moi. Je pense que la clé, c’est d’être authentique, même si ça peut parfois faire peur. Avec le temps, j’ai réalisé que la sincérité a son prorre charme, même si ça peux parfois sembler moins “séducteur”. Enfin, un dernier truc que je trouve essentiel, c’est de ne pas se prendre trop au sérieux. Parfois, une bonne dose d’humour peux casser la glace. L’autre jour, je faisais une blague sur le fait que je suis nul en danse à une soirée, et on a bien rigolé. C’est comme si la pression s’envolait. À la fin de la journé, séduuire, ça reste quelque chose de très personnel, et ce qui marche pour l’un peux ne pas marcher pour l’autre. Mais bon, ce que j’en retire, c’est que mieux vaut essayer de rester soi-même et de ne pas trop se mettre la pression. Au final, ce qui est important, c’est de profiter du moment, même si ça mène à des situations parfois cocasses. Qui sait, la prochaine fois, ça sera peu-être le bon moment !